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181 " Me cuesta entender que el ser humano viva o quiera vivir con pureza, claridad y felicidad en medio de toda esta mentira mutua. "
― Osamu Dazai , No Longer Human
182 " Los cobardes temen hasta la felicidad. Pueden herirse incluso con el algodón. "
183 " To appeal for help to any human being—I could expect nothing from that expedient. "
184 " Nos relacionábamos despreciándonos mutuamente y volviéndonos cada vez más triviales; si esto es lo que el mundo llama «amistad», entonces no hay duda de que eramos amigos. "
185 " Aunque llegue a salir, llevaré siempre clavado en la frente el cartel de loco; mejor dicho, de muerto viviente. Indigno de ser humano. "
186 " I find it difficult to understand the kind of human being who lives, or who is sure he can live, purely, happily, serenely while engaged in deceit. "
187 " Je pensais : « Ce n'est que pour m'amuser, je ne le prends que comme partenaire de plaisirs. » D'ordinaire, je le méprisais ; quelquefois je me sentais honteux de me promener dans sa compagnie. Pourtant, c'est par cet homme que me vie fut brisée. "
188 " It was strange how she calmed my agitation with those few words. "
189 " I felt, rather, as if being next to her in itself made it unnecessary to worry. "
190 " My unhappiness was the unhappiness of a person who could not say no. I had been intimidated by the fear that if I declined something offered me, a yawning crevice would open between the other person's heart and myself which could never be mended through all eternity. "
191 " Je trouve étrange, extraordinaire, que pas une seule fois elle n'ait dit : « Je me sens seule sur terre... » Ces mots auraient certainement éveillé en moi de la compassion, mieux qu'un déluge de lamentations sur la destinée des femmes. Cependant, bien que ces mots de solitude ne soient jamais sortis de ses lèvres, tout son corps était enveloppé des effluves d'un isolement affreux ; à son contact mon propre corps s'enveloppait des effluves de la mélancolie plus ou moins cuisante que portais en moi ; toutes ces émanation se mêlaient. Comme « la feuille morte qui descend au fond de l'eau pour se poser sur le rocher », j'étais prêt à m'éloigner, par crainte et par angoisse. "
192 " The weak fear happiness itself. They can harm themselves on cotton wool. Sometimes they are wounded even by happiness. "
193 " There are some people whose dread of human beings is so morbid that they reach a point where they yearn to see with their own eyes monsters of even more horrible shapes. And the more nervous they are—the quicker to take fright—the more violent they pray that every storm will be... Painters who have had this mentality, after repeated wounds and intimidations at the hands of the apparitions called human beings, have often come to believe in phantasms—they plainly saw monsters in broad daylight, in the midst of nature. And they did not fob people off with clowning: they did their best to depict these monsters just as they had appeared. Takeuchi was right: they had dared to paint pictures of devils. These, I thought, would be my friends in the future. I was so excited I could have wept. "
194 " Une faible insecte craint même le bonheur. On le meurtrit même avec du coton. On peut être blessé même par le bonheur. J'avais hâte de me séparer d'elle avant d'être blessé, sans plus attendre, et de m'envelopper du rideau de fumée d'un vrai bouffon. "
195 " Mon regard croisa celui de Tsune-ko et nous échangeâmes un petit sourire triste. "
196 " Tuve un sobresalto. En el fondo, Horiki no me trataba como a un ser humano sino como a un deshonrado que escapó de la muerte, un fantasma imbécil, un cadáver viviente; y su amistad sólo consistía en utilizarme al máximo para sus placeres. Por supuesto, estos pensamientos no fueron nada agradables; pero, pensándolo bien, era comprensible que Horiki me viese de esa manera, ya que desde niño era indigno de ser humano, y quizá fuera muy razonable que hasta él me despreciara. "
197 " Horiki mostraba hacia los objetos de su casa una posesividad que alcanzaba hasta los cordones del cojín. Pensándolo después, a Horiki no le había costado ni un céntimo el divertirse conmigo. "
198 " Cependant, à ce moment, j'étais encore incapable de donner leur sens réel à ces mots : « Je veux mourir. » Une idée d'amusement s'y cachait. "
199 " Cette nuit-là nous nous précipitâmes dans la mer à Kamakura. Tsune-ko dénoua sa ceinture, la plia et la posa sur un rocher. J'enlevai mon manteau, le plaçai à côté et nous nous jetâmes ensemble dans la mer.Tsune-ko mourut. Moi seul fut sauvé. "
200 " You miss her, don’t you?” “Yes. "