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1 " Now we allow that life begins with conception, because we contend that the soul also begins from conception; life taking its commencement at the same moment and place that the soul does. "
― Tertullian , De Anima
2 " For it is really better for us not to know a thing, because [God] has not revealed it to us, than to know it according to man’s wisdom, because he has been bold enough to assume it. "
3 " Surely it is obvious enough, if one looks at the whole world, that it is becoming daily better cultivated and more fully peopled than anciently. All places are now accessible, all are well known, all open to commerce; most pleasant farms have obliterated all traces of what were once dreary and dangerous wastes; cultivated fields have subdued forests; flocks and herds have expelled wild beasts; sandy deserts are sown; rocks are planted; marshes are drained; and where once were hardly solitary cottages, there are now large cities. No longer are (savage) islands dreaded, nor their rocky shores feared; everywhere are houses, and inhabitants, and settled government, and civilized life. What most frequently meets our view (and occasions complaint), is our teeming population: our numbers are burdensome to the world, which can hardly supply us from its natural elements; our wants grow more and more keen, and our complaints more bitter in all mouths, whilst Nature fails in affording us her usual sustenance. In very deed, pestilence, and famine, and wars, and earthquakes have to be regarded as a remedy for nations, as the means of pruning the luxuriance of the human race. . . . "
4 " Wide are men’s inquiries into uncertainties; wider still are their disputes about conjectures. "
5 " « jusqu'à ce qu'elle ait payé la dernière obole. » C'est ainsi qu'il pervertit cette allégorie tout entière du Seigneur, quoique l'interprétation en soit lumineuse, et que d'abord il eût dû l'entendre dans son sens naturel. Car le païen est un ennemi, marchant avec nous dans la carrière commune de la vie; |74 d'ailleurs « il nous faudrait sortir de ce monde, » s'il ne nous était pas permis de converser avec eux. Il veut donc que nous lui communiquions les biens de l'âme. « Aimez vos ennemis, dit-il, et priez pour ceux qui vous maudissent, » de peur que, provoqué à tort par quelque relation d'affaires, il ne vous traîne devant son juge, et que jeté en prison, vous n'y soyez détenu jusqu'à l'acquittement de toute votre dette. Veux-tu que la mention de cet ennemi s'applique au démon, parce qu'il est dit qu'il nous observe? Tu es encore averti de garder avec lui cet accord qui est fondé sur les engagements de la foi. N'as-tu pas promis de renoncer à Satan, à ses pompes et à ses anges? Tel est le traité signé entre vous. L'amitié, par suite de la fidélité aux engagements, consistera pour toi à ne rien reprendre désormais de ce que tu as répudié, de ce que tu lui as rendu, de peur qu'il ne te livre aux jugements de Dieu comme un fourbe, comme un violateur du pacte, de même que nous le voyons ailleurs, « accuser les saints, et se faire leur délateur, ainsi que l'indique son nom; » de peur enfin que ton juge ne te livre au ministre de ses « vengeances, et que tu ne sois envoyé dans une prison, d'où tu ne sortiras qu'après avoir acquitté les fautes les plus légères » dans l'intervalle de la résurrection. Quoi de plus naturel que ces sens? Quoi de plus vrai que ces interprétations? "