" Toujours selon M., cette deuxième phase cède le pas à son tour à une troisième, à laquelle il donne le nom de "désespoir serein". Cela consiste à savoir qu'on ne sera jamais parfaitement assimilé à son pays d'adoption et jamais non plus dans un rapport d'harmonieuse évidence avec son pays d'origine. Ce savoir fait désormais partie de votre être même ; vous l'acceptez avec lucidité, en philosophie. "
― Nancy Huston , Lettres parisiennes: Histoires d'exil