" — […] Avant, ce genre de lieux, je les fuyais comme la peste. Tous les gens qui sont sensibles à la souffrance animale redoutent les refuges. Ils pensent qu’ils ne vont pas supporter. Ils se trompent. La première fois on chiale un bon coup, et après ça passe. — Moi, je ne supporterais pas, souffle Nina. — Bien sûr que si. Ce qui est insupportable, c’est de ne rien faire. "