" « Je gardais le silence ou grognais n’importe quoi ; – les mots ne me sortaient plus. Forcément, mon gosier n’était plus apte à former des sons mais exclusivement des pierres. Elles me harcelaient toutes cependant, comme elles harcelaient les autres hommes, ne sachant pas à quoi elles s’exposaient : j’étais prêt à vomir un torrent de pierres. » "
― Mohammed Dib , Qui se souvient de la mer (Minos t. 52)