Cassandra O'Donnell QUOTES

21 " - L'ennui quand on sort avec un vieux, c'est qu'il veut toujours vous en mettre plein la vue.
- Touché. "

― Cassandra O'Donnell , Pacte de sang (Rebecca Kean, #2)

23 " - Comment tu te sens ?
Déchirée, en miettes, stupide et morte de honte.
- Mieux.
- Viens, on va rentrer à la maison et appeler un toubib.
J'imaginais déjà la scène : j'ai eu un gros choc émotionnel quand j'ai découvert que l'homme dont j'étais follement amoureuse n'était qu'un trou du cul... Vous croyez que c'est grave docteur ? "

― Cassandra O'Donnell , Ancestral (Rebecca Kean, #4)

25 " - Vous n'avez rien de mieux à faire que de nous écouter ? Je ne sais pas moi... personne à démembrer, à faire cramer, pas d'enfant à dévorer ?
Il haussa les épaules.
- Peux pas. Vous venez de nous interdire de toucher à quiconque hormis à l'armée du Mortefilis, répondit-il très sérieusement tandis que ses neuf autres congénères hochaient doucement la tête en chœur.
Pourquoi moi ? "

― Cassandra O'Donnell , Ancestral (Rebecca Kean, #4)

27 " J’entends, j’écoute, je m’instruis… "

― Cassandra O'Donnell , Le clan des loups (La légende des quatre, #1)

29 " De l'autre côté des terres des loups, à la frontière sud, Wan dévisageait en souriant la sentinelle des Lupaïs qui l'écoutait parler d'un air stupéfait :
— Oui, je sais, je n'ai pas le droit d'être là, loup, mais que veux-tu que je te dise ? Je trouve les frontières, les règles et les lois très surfaites. Oh, je sais qu'il en faut bien sûr, mais je crois que c'est pas mon truc... Alors ouais, tu vas me rétorquer que je devrais faire un effort, que c'est très vilain d'enfreindre les traités et patati et patata et tu aurais raison, mais bon... puisque je suis là, maintenant qu’est-ce qu’on fait ? "

― Cassandra O'Donnell , Le clan des tigres (La légende des quatre, #2)

31 " Nel déglutit. Elle se souvenait de la première fois où elle s'était plongée dans les livres et où elle avait découvert la civilisation du vieux peuple. Elle se souvenait de son émerveillement devant toutes les connaissances que les humains avaient accumulées puis du sentiment d'horreur qui l'avait envahie au fur et à mesure qu'elle comprenait à quel désastre l'avidité des hommes et leur égoïsme avaient conduit le monde. Ils s'étaient comportés comme des tyrans, ils avaient cru que tout leur appartenait, ils s'étaient complètement moqués des autres espèces animales et végétales de cette terre et les avaient, petit à petit, fait disparaître. Elle se souvenait de l'immense tristesse qui l'avait submergée en découvrant l'histoire de l'humanité, puis de la colère... de cette colère qui ne l'avait, depuis, jamais vraiment quittée. "

― Cassandra O'Donnell , Le clan des tigres (La légende des quatre, #2)